Ce 19 juin 2023, s'est tenue à Abidjan, en Côte d'Ivoire, la cérémonie d'ouverture de l'atelier de partage et de planification des options d’investissements digitaux en appui au pastoralisme au Sahel et en Afrique de l'Ouest. Cet atelier, financé par le MOPSS et l'ASDI se déroulera du 19 au 21 juin 2023, est organisé dans le cadre du Programme conjoint Sahel en réponse aux Défis COVID-19, Conflits et Changements climatiques (SD3C) et du Projet Régional d’Appui au Pastoralisme au Sahel (PRAPS-2) – Phase II
L'objectif principal de cet atelier est de favoriser une réflexion collective sur l'utilisation des technologies numériques pour soutenir le pastoralisme et renforcer la résilience des communautés pastorales face aux défis du changement climatique, des conflits et de la pandémie de COVID-19. Il réunit des représentants des six pays d'intervention du PRAPS-2, du G5 Sahel, des pays côtiers et des jeunes porteurs d'innovations technologiques.
L'atelier se déroule dans un contexte où les technologies de l'information et de la communication (TIC) sont moins répandues dans les zones pastorales par rapport aux zones agricoles. Pourtant, ces technologies pourraient jouer un rôle déterminant dans la gestion des déplacements des troupeaux, l'approvisionnement en aliments pour le bétail et l'accès aux marchés, en particulier compte tenu de la mobilité et de la dispersion géographique des populations pastorales.
Dans cette optique, le PRAPS-2 et le Programme SD3C reconnaissent l'importance des investissements digitaux pour soutenir le pastoralisme et relever les nouveaux défis auxquels sont confrontées les communautés pastorales, tels que le blocage des transhumants dans les espaces transfrontaliers.
Pour rappel, la cérémonie d'ouverture a été présidée par le représentant du Ministre des Ressources Animales et Halieutiques de la République de la Côte d'Ivoire, en compagnie du Président du RBM, de la Secrétaire Exécutive du PRAPS II et du Coordonnateur du SD3C, représentant le Secrétaire Exécutif du G5 Sahel.
La cérémonie d'ouverture de cet atelier marque le début de trois jours d'échanges et de discussions pour explorer les opportunités et les défis de l'utilisation des investissements digitaux pour soutenir le pastoralisme au Sahel et en Afrique de l'Ouest.
Le Projet PAS2P (Projet d'assistance aux familles d'éleveurs confrontées aux effets cumulés de la soudure pastorale, de l'insécurité et de la pandémie de COVID-19) a réalisé des avancées significatives dans la région d'Afrique de l'Ouest. Découvrez les résultats clés qui ont renforcé la résilience des communautés pastorales face à ces multiples défis.
Grâce au Projet PAS2P, les résultats obtenus et les acquis majeurs enregistrés sont repérables à plusieurs niveaux :
Pour illustrer ces résultats, vous pouvez consulter les nombreux reportages sur le terrain qui ont été publiés, mettant en avant les réalisations du projet PAS2P. Ces reportages donnent un aperçu concret des avancées obtenues et des impacts positifs sur les communautés pastorales en Afrique de l'Ouest.
Burkina Faso : https://www.facebook.com/watch/live/?extid=WA-UNK-UNK-UNK-AN_GK0T-GK1C&ref=watch_permalink&v=3102203470013273
Le Projet PAS2P a généré des résultats significatifs qui témoignent de l'engagement envers la résilience des communautés pastorales en Afrique de l'Ouest. Ces réalisations ouvrent la voie à une sécurité alimentaire renforcée et à des conditions de vie durables pour ces communautés.
Ce 17 juin marque une étape importante pour l'Association pour la Redynamisation de l'Élevage au Niger (AREN Niger) avec le lancement des travaux de fonçage d'un puits pastoral dans le village de Danthangol, situé dans la commune rurale de Tondikandia, dans la région de Tillaberi. Ces travaux sont réalisés dans le cadre du projet BHA et bénéficient d'un financement de l'Organisation internationale pour les migrations (OIM).
Le fonçage d'un puits pastoral constitue une réponse concrète aux défis auxquels sont confrontés les éleveurs de la région. La région de Tillaberi, tout comme d'autres régions du Niger, est souvent touchée par la sécheresse et l'insuffisance des ressources en eau. Cela a un impact direct sur les activités d'élevage, qui sont vitales pour de nombreuses communautés locales. En creusant un puits pastoral, l'AREN Niger vise à fournir un accès fiable à l'eau pour les troupeaux, contribuant ainsi à améliorer les conditions de vie des éleveurs et le bien-être de leur bétail.
Le projet BHA, financé par l'OIM, est conçu pour soutenir les initiatives visant à renforcer la résilience des communautés pastorales face aux changements climatiques et aux problèmes de sécurité alimentaire. En partenariat avec les acteurs locaux, l'AREN Niger joue un rôle clé dans la mise en œuvre de ce projet, en veillant à ce que les besoins spécifiques des éleveurs soient pris en compte.
Le lancement des travaux de fonçage du puits pastoral à Danthangol est le fruit d'une collaboration étroite entre l'AREN Niger, les autorités locales et les membres de la communauté. Une cérémonie officielle s'est tenue pour marquer cet événement significatif. Des représentants de l'AREN Niger, de l'OIM, des autorités locales et des membres de la communauté ont assisté à cette cérémonie, exprimant leur soutien et leur engagement envers ce projet.
Le fonçage de ce puits pastoral offrira des avantages tangibles pour la communauté de Danthangol et les éleveurs de la région. Les troupeaux auront un accès régulier à l'eau, ce qui contribuera à améliorer leur santé et leur productivité. De plus, les éleveurs pourront réduire leurs déplacements à la recherche d'eau, ce qui économisera leur temps et de leur énergie.
Ce projet démontre l'engagement de l'AREN Niger à soutenir les éleveurs et à renforcer la résilience des communautés pastorales face aux défis actuels. Il s'inscrit dans une approche globale visant à favoriser le développement durable de l'élevage au Niger, en assurant un accès adéquat aux ressources nécessaires.
Le lancement des travaux de fonçage du puits pastoral dans le village de Danthangol est une étape prometteuse vers la réalisation des objectifs du projet BHA. Grâce à l'initiative de l'AREN Niger et au soutien financier de l'OIM, les éleveurs de la région de Tillaberi bénéficieront d'un accès fiable à l'eau, favorisant ainsi la croissance de leur activité et le développement durable.
Dans le cadre du projet Gold for Climate, des connexions solides ont été établies entre les acteurs locaux, permettant ainsi de renforcer la résilience des communautés agropastorales face aux impacts de l'activité minière et des changements climatiques. Afin de pérenniser les actions entreprises et d'assurer une plus grande efficacité, plusieurs mesures ont été pris en compte
Tout d'abord, il est essentiel de maintenir et de renforcer les échanges formels et informels entre les différents acteurs locaux. Les cadres de concertation, qui ont joué un rôle clé dans la communication entre les parties prenantes, doivent continuer à faciliter cette dynamique collaborative. Ces espaces permettent de partager les connaissances, d'échanger les bonnes pratiques et de coordonner les actions en faveur de la résilience agropastorale.
Parallèlement, il est primordial de poursuivre les efforts de sensibilisation auprès des acteurs locaux sur les problématiques du monde agropastoral, notamment dans le contexte des récents changements institutionnels. Des formations, des ateliers, des rencontres et d'autres initiatives de communication peuvent être organisés pour sensibiliser davantage les parties prenantes et renforcer leur compréhension des enjeux.
Pour assurer la durabilité des actions, il est impératif d'intégrer les besoins des agropasteurs dans la planification locale. Les initiatives menées par les entreprises minières dans le cadre de leur responsabilité sociale d'entreprise (RSE) peuvent jouer un rôle important pour répondre à ces besoins. En travaillant de concert avec les communautés agropastorales, les entreprises peuvent contribuer à la mise en place de solutions adaptées et durables, favorisant ainsi la coexistence harmonieuse entre l'activité minière et l'agropastoralisme.
Par ailleurs, il est nécessaire d'utiliser les outils de partage et de plaidoyer qui ont été développés au cours du projet. Les cadres de concertation ainsi que les résultats des analyses PGES, PCD et des diagnostics communautaires peuvent être utilisés comme des leviers pour renforcer la compréhension mutuelle et la collaboration entre les différents acteurs. Ils peuvent également servir à promouvoir la sensibilisation et l'éducation des parties prenantes concernées.
En renforçant la compréhension mutuelle et la coopération entre les acteurs, il sera possible de mettre en place des initiatives plus pérennes et efficaces pour renforcer la résilience des communautés agropastorales. Le projet Gold for Climate a apporté des leçons qui doivent être capitalisés pour garantir un avenir durable à ces communautés. La collaboration entre les acteurs locaux, les entreprises minières et les organismes gouvernementaux est essentielle pour relever les défis complexes liés à l'activité minière et aux changements climatiques.
En conclusion, en s'appuyant sur les connexions établies, la sensibilisation continue, l'intégration des besoins agropasteurs dans la planification locale et l'utilisation des outils de partage et de plaidoyer, les actions entreprises par le projet Gold for Climate peuvent être pérennisées. Cela ouvrira la voie à des initiatives durables visant à renforcer la résilience des communautés agropastorales et à assurer leur prospérité face aux défis futurs.
Le Projet PAS2P (Projet d’assistance aux familles d’éleveurs confrontées aux effets cumulés de la soudure pastorale, de l’insécurité et de la pandémie de COVID-19) est une initiative qui vise à apporter une assistance vitale aux communautés pastorales et agropastorales d'Afrique de l'Ouest. Face aux crises multidimensionnelles, telles que la soudure pastorale difficile, la crise sanitaire de la COVID-19 et la crise sécuritaire, ces communautés sont confrontées à des défis de taille.
Le PAS2P se concentre sur le renforcement du système de veille pastorale, en formant des points focaux, des sentinelles et des relais, ainsi que des membres d'organisations partenaires, dans le dialogue politique et les actions de plaidoyer. La plateforme numérique mise en place favorise l'échange d'informations et de bonnes pratiques, renforçant ainsi la résilience des communautés face aux défis auxquels elles sont confrontées.
Ce projet couvre neuf pays d'intervention dans la région, dont le Mali, le Niger, le Burkina Faso, le Sénégal, la Mauritanie, le Tchad, le Bénin, le Togo et le Nigéria. En unissant nos forces, nous pouvons apporter un changement significatif dans la vie des populations pastorales et agropastorales de l'Afrique de l'Ouest, en créant un avenir plus prospère et résilient pour tous.
Le Projet PAS2P, financé par la DDC (Direction du Développement et de la Coopération) et le FIDA (Fonds International de Développement Agricole), représente un investissement d’environ 4 milliards de FRANCS CFA. Il a apporté une assistance directe à 38 700 ménages vulnérables, ce qui bénéficie indirectement à environ 1 500 000 personnes à travers les neuf pays d'intervention. Le projet est exécuté par le Réseau Billital Maroobé (RBM) sur une durée de deux ans et demie, en partenariat avec plusieurs organisations telles que l’AREN (Niger), la PAEP (Togo), le GNAP (Mauritanie), le CRUS (Burkina), BILMPAN (Nigeria), l'ADENA (Sénégal), le RECOPA (Burkina), TASSAGHT (Mali), et le COPAFIB (Tchad).
Cette collaboration entre les différents acteurs a permis de maximiser l'impact du projet et de la mise en œuvre des actions concrètes en faveur des communautés pastorales et agropastorales. Le Projet PAS2P a joué ainsi un rôle essentiel dans le renforcement de la résilience de ces communautés face aux multiples défis auxquels elles sont confrontées.
Dans la poursuite du développement durable et de la conservation de l'environnement, la collaboration entre les différents acteurs a joué un rôle essentiel dans la mise en œuvre du Projet. Cela a été particulièrement évident dans le cadre du projet Gold For Climate, où les efforts collectifs des différents acteurs ont été déterminants pour obtenir des résultats positifs.
Conscient de l'importance de cette collaboration, Orezone Bomboré SA, un acteur majeur du projet, a récemment franchi une étape louable en recrutant un expert en pastoralisme pour mieux comprendre les préoccupations et les besoins spécifiques des agropasteurs. En recrutant un expert en pastoralisme, Orezone Bomboré SA a démontré une prise de conscience accrue des exigences particulières des agropasteurs. Cette démarche stratégique reflète l'engagement du projet à garantir l'inclusion et la représentation équitable de tous les acteurs impliqués. Comprendre les préoccupations et les aspirations des agropasteurs est essentiel pour développer des solutions efficaces et durables qui favorisent une coexistence harmonieuse entre les différentes communautés des zones d'intervention du Projet.
L'une des difficultés auxquelles le projet Gold For Climate a dû faire face était la présence de chercheurs d'or artisanaux dans la zone pastorale. Cela a soulevé des inquiétudes quant aux conflits potentiels liés à l'utilisation des ressources naturelles et à la dégradation de l'environnement. En réponse à cette problématique, le projet a activement collaboré avec les autorités locales, notamment le préfet de Boudry, qui a attiré l'attention sur la question. Grâce à ce partenariat, le projet a facilité une campagne de sensibilisation visant à promouvoir l'importance d'une cohabitation pacifique et d'une utilisation durable des ressources.
De plus, les efforts du projet ne se sont pas limités à la résolution des problèmes immédiats, mais ont également cherché à instaurer un climat de confiance et d'autonomisation parmi les agropasteurs. La mise en place de cadres de concertation a offert une plateforme précieuse permettant aux agropasteurs d'exprimer leurs préoccupations, leurs aspirations et leurs doléances. Chec Ouattara, du Réseau Billital Maroobe (RBM), met en avant l'impact positif de ces plateformes, affirmant : "Auparavant, les agropasteurs se repliaient en cas de violations de leurs droits, mais maintenant ils disposent d'un espace pour s'exprimer et être reconnus."
Le projet Gold For Climate constitue un exemple éclatant de la façon dont la collaboration et la synergie peuvent aboutir à des résultats améliorés et à des transformations positives dans les projets environnementaux. En reconnaissant les besoins spécifiques des agropasteurs, en favorisant une coexistence pacifique et en offrant des plates-formes de dialogue, le projet a établi une norme en matière de pratiques de développement inclusives et durables. Alors que le projet est terminé, une collaboration continue entre tous les acteurs est essentielle pour pérenniser ses acquis et favoriser le développement durable tant pour l'environnement que pour les communautés locales impliquées.
La promotion du pastoralisme est devenue de plus en plus cruciale à mesure que le monde continue d'évoluer. Le pastoralisme, un mode de vie transmis de génération en génération, est concerné par cette nécessité. Ces dernières années, un mouvement de jeunes passionnés du pastoralisme, appelé Jeunes Ambassadeurs du Pastoralisme, s'est constitué. Leur objectif est de favoriser le développement des zones pastorales et agro-pastorales ainsi que la cohésion sociale.
Du 19 au 23 mars 2023, la 3ème édition du Salon de la Convergence Intergénérationnelle pour l'Avenir du Pastoralisme (CIGAP) a eu lieu à Siloé. Cette rencontre a rassemblé des jeunes ambassadeurs du pastoralisme, des leaders d'organisations pastorales, des partenaires du RBM et des personnes ressources conviées par le RBM. Cet événement a offert une plateforme pour ces groupes afin de partager leurs expériences et connaissances, d'apprendre les uns des autres et de collaborer sur les moyens de promouvoir et de préserver le pastoralisme.
Plusieurs jeunes ambassadeurs ont partagé leurs parcours ainsi que les difficultés auxquelles est confronté le pastoralisme dans différents pays d’Afrique et du Centre. Les partenaires et les personnes ressources ont également partagé leur point de vue, y compris Aliou Demba Kebe, Directeur des Programmes Afrique Occidentale/PeaceNexus, qui a déclaré que : « Dès le début, le RBM a souhaité renforcer sa contribution à la paix dans son environnement à travers une inclusion de jeunes et de femmes ». Dans sa quête de construire une relève, le RBM, ses organisations pastorales et ses partenaires travaillent en synergie pour atteindre leur objectif. Youssouf Cissé, Formateur en leadership, a déclaré que : « Pour nous, l'idée n'est pas fondamentalement d'en faire de bons éleveurs, mais d'en faire des citoyens engagés autour d'un certain nombre de valeurs, d'une vision du développement du pastoralisme en Afrique de l'Ouest et en Afrique de l'Est ». Selon Ne Salem Ahmed El Hadj, Premier Vice-Président du RBM, les Jeunes Ambassadeurs ont été organisés pour leur enseigner le pastoralisme et la vision nécessaire pour travailler pour le développement du pastoralisme en Afrique et du Centre.
Le pastoralisme, qui représente un mode de vie ancestral, est plus que jamais d'actualité. Grâce à l'implication des Jeunes Ambassadeurs du Pastoralisme et de leurs partenaires, la promotion et la préservation de cette pratique peuvent continuer à être portées avec enthousiasme et persévérance vers un avenir durable.
C'est le week-end et comme vous le savez, on parle du Projet #GoldForClimate ! Aujourd'hui, vous allez découvrir quelques réalisations environnementales du Projet. Le projet GOLD FOR CLIMATE est mis en œuvre par le Réseau Billital Maroobé (#RBM) et ses partenaires, à travers un financement de l’Union Européenne, dans les zones d’impact de 4 sociétés minières. Il est parvenu à asseoir autour de la même table, miniers, agropasteurs et collectivités, afin d’améliorer la compréhension mutuelle des acteurs et d’apaiser les tensions.
Deux séances de sensibilisation ont été conduites dans les zones pastorales de Gadghin (commune de Mogtédo) et de Mankarga V7 (commune de Boudry) : les services techniques ont rappelé la législation encadrant les zones pastorales et leur importance pour le secteur de l’élevage ; l’#ANEEMAS (Agence Nationale d’Encadrement des Exploitations Minières Artisanales et Semi-mécanisées) est intervenue à Mankarga V7 sur la réglementation liée à l’orpaillage, et les risques pour la santé humaine et animale ; les cas de violation des zones pastorales ont été constatés.
Deux séances de sensibilisation sur la cohabitation pacifique autour des ressources pastorales ont été organisées à Ouahigouya (Nord) et à Dori (Sahel).
A Mogtédo, la formation sur la fauche et la conservation du fourrage a été co-portée avec la mine #OrezoneBomboréSA. C’est 33 personnes 25 hommes et 8 femmes. Mankarga v7 c’est au total 40 personnes
Des formateurs ont également été formés pour répliquer l’activité sur le terrain. Dans les villages de Pilaka et de Puskin (Boudry), la visite commentée du champ école sur la culture du niébé à double objectif (alimentation humaine et animale) a été co-portée avec #SOMISA_SA. L’implication de la mine a facilité la mobilisation des acteurs.
SOMISA a également co-financé la séance de sensibilisation à Mankarga V7 (prise en charge du déplacement des services techniques et des autorités communales). Il y a eu également l’aménagement des forages pastoraux solaires et abreuvoirs et la formation des agropasteurs à la production fourragère
diapoMaroobe
Le Réseau Billital Maroobè est un cadre régional de référence des éleveurs et pasteurs qui œuvre pour la défense des intérêts de ses membres au plan économique, politique, social et culturel
Le Réseau Billital Maroobè est convaincu que le pastoralisme, fondé sur la mobilité spatiale et saisonnière, représente une forme essentielle de production par son apport économique, social, culturel et écologique aux zones arides et semi-arides où d’autres formes de production sont très aléatoires, voire impossible.